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mercredi 28 octobre 2015

Les chemins de la fraternité

Les chemins de la fraternité
Auteur : Jean-François Nahmias

Texte de présentation

En rupture avec sa famille bourgeoise, Frédéric débarque en 1865 dans le Paris brillant et effervescent du Second Empire, mais ce n'est pas pour faire fortune... À 18 ans, sans un sou et sans relations, il ne connaît rien de la vie. La volage Bouton d'or et un oncle franc-maçon vont se charger de son éducation amoureuse et intellectuelle juste au moment où la montée en puissance de la Prusse précipite la France vers un conflit désastreux.
Dans une capitale assiégée où la fête s'éteint soudainement pour laisser place au froid, à la peur et à la faim, Frédéric, enflammé par les idées révolutionnaires, découvre sur les barricades de la Commune la fraternité, mais aussi la haine : devenu chef des services du contre-espionnage, il est poursuivi par la rancune de la redoutable "Veuve noire", proche de l'impératrice, qui n'a d'autre idée que de l'éliminer...
Jean-François Nahmias nous entraîne au coeur d'une fresque passionnante pour décrire, en fin connaisseur des coulisses de l'Histoire, ce Paris qui souffre tout en refusant la défaite. Et nous faire découvrir, à travers l'engagement des francs-maçons, un pan totalement méconnu de la Commune.

Caractéristiques techniques

Livre papier

Éditeur : Albin Michel
Date de parution : octobre 2015
Couverture : brochée
Format : 15 cm x 22 cm
Pagination : 528 pages
ISBN : 978-2-2263-2082-7

Livre numérique

Éditeur : Albin Michel
Format : 7switch : ePub –– Amazon : Kindle –– Decitre : ePub –– ePagine : ePub –– Feedbooks : ePub –– Fnac : ePub –– Numilog : ePub

1 commentaire:

  1. Excellent roman historique. Des rebondissements, des personnages qui se rencontrent, des gentils, des méchants. Les événements historiques sont présentés brièvement et clairement. Bravo à l'auteur ! Quelle imagination ! 500 pages d'une lecture facile et agréable.
    Ce qui ne va pas : des personnages trop nombreux, on s'y perd parfois. Côté technique : les gamins ramassent des éclats et non des douilles d'obus. Les douilles restent chez les Prussiens, car éjectées du canon. Les canons à balles (on ne disait pas mitrailleuse encore) fonctionnaient avec une manivelle et ressemblaient à des canons, avec deux roues. Difficile de les jucher à l'étage d'un immeuble ! Ça, c'est mon côté "bouton de guêtres" qui ressort. J'arrête. Oublions cela. Je conseille fortement, car un roman comme celui-ci, faut quand même le faire !

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